Après le décès des parents, organiser les obsèques est souvent une tâche difficile. Le choix des pompes funèbres et la préparation de la cérémonie sont généralement compliqués. Voici quelques astuces pour préparer les obsèques des parents.
Les démarches à faire dans les 24 h après le décès
La famille doit contacter un médecin pour constater le décès. Cela permet d’obtenir un certificat médical. On peut confier cette tâche aux pompes funèbres comme Desmet-Dardenne pour faciliter les démarches. Si la personne décède dans un hôpital, par exemple, le médecin de l’établissement accomplira cette démarche. Il en est de même pour une maison de retraite ou un clinique.
La famille doit également prévenir la gendarmerie ou le commissariat de police en cas de suicide. Cette étape doit également s’effectuer si la personne est morte accidentellement. Un procès-verbal illustrant les circonstances du décès doit être établi. La famille doit aussi se rendre auprès de la mairie du lieu du décès. Elle y déposera la déclaration du décès en se munissant d’un certificat de décès. La pièce d’identité et le livret de famille du défunt y figurent aussi.
Concernant le transport et les pompes funèbres
Il est possible que la personne décède dans une clinique ou à l’hôpital. De ce fait, le transport du corps jusqu’à son domicile peut s’effectuer dans les 48h. Les pompes funèbres assurent le transport. Durant trois jours, la dépouille peut aussi être hébergée gratuitement dans sa chambre mortuaire. S’il le décès a eu lieu au domicile, le corps du défunt peut y rester ou être mis en chambre funéraire.
Dans ce cas, le séjour du corps sera souvent payant. Il est compris entre 280 et 380 € pour trois jours, y compris le transport. En outre, la famille doit choisir une entreprise de pompes funèbres. Avant d’en sélectionner une, il vaut mieux contacter plusieurs sociétés pour comparer les prix. Les devis sont généralement gratuits. Ils doivent illustrer les prestations obligatoires et facultatives ainsi que leurs prix précis.
Les pompes funèbres prennent en charge la mise en bière et la fermeture du cercueil. Elles effectuent aussi le transport vers le lieu d’enterrement.
Le choix entre l’inhumation et la crémation
Le défunt peut être inhumé dans le cimetière de la commune où il est décédé. Lorsque toutes les démarches sont accomplies, le maire délivre le permis d’inhumer. Pour la mise en terre, les délais se situent entre 24 h et 6 jours après le décès. Les dimanches et les jours fériés n’y sont pas compris. Si le décès est survenu à l’étranger, il faut compter 6 jours. Cela débute à partir de l’entrée du corps sur le territoire français.
Certains gens choisissent l’incinération qui coûte généralement moins cher. En effet, elle touche actuellement plus de 20 % des décès. Pour cela, il faudra une autorisation de crémation de la commune où s’est produit le décès. Lorsque la crémation est effectuée, on peut déposer l’urne dans un cimetière. De plus, on peut disséminer les cendres dans son « jardin du souvenir ». On peut aussi disperser les cendres ou en pleine nature ou dans une propriété privée